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« Il n’est pour l’âme aliment plus suave que la connaissance de la vérité » (Lactance)

La doctrine de saint Ignace d’Antioche

Conférence sur saint Ignace d’Antioche et saint Polycarpe de Smyrne dans la série « Connaissance des Pères de l’Église » prononcée par l’abbé Jean BAYOT : cliquer ici

Biographie de saint Ignace d’Antioche : cliquer ici

Les pères apostoliques et leur époque de Mgr Charles-Emile FREPPEL (cliquer ici)

ignace d'antioche

Saint Ignace d’Antioche est né vers l’an 35 en Syrie. Il reçu l’enseignement des saints Apôtres Pierre et Jean ce qui fait de lui un des Pères de l’Église nommés Pères apostoliques car ayant connu des Apôtres. Il fut le troisième évêque d’Antioche (vers 68-vers 107). Il était surnommé Théophore, ace qui signifie porteur de Dieu. Il fut déporter à Rome où il mourut dans l’arène, dévoré par les bête entre 107 et 117 sous l’empereur Trajan. Je vous invite à consulter sa fiche Christ-Roi.net : ici et sa fiche Christroi.over-blog.comici.

Voici le plan de notre étude :

I) L’autorité de saint Ignace d’Antioche

A) Ses maîtres apostoliques

B) Les protestants sont obligés de reconnaître son autorité

C) Saint Ignace se dirigeait vers la mort n’avait aucun intérêt à mentir et tout intérêt à ne pas mentir

D) La réception de ses lettres par la génération apostolique

1) Leur approbation totale par les Eglises d’Asie mineure

2) Les Eglises d’Asie mineure avait été irradiée par l’enseignement de l’apôtre saint Jean jusqu’à très récemment

II) La Présence Réelle du Christ dans l’Eucharistie

III) La hiérarchie catholique évêque-prêtres-diacres et la Papauté

IV) La sanctification du Dimanche et non plus du Samedi

V) La confession à un prêtre

VI) La nécessité des bonnes œuvres

I) L’autorité de saint Ignace d’Antioche

A) Ses maîtres apostoliques

Saint Ignace d’Antioche est né vers l’an 35 en Syrie. Il reçu l’enseignement des saints Apôtres Pierre et Jean ce qui fait de lui un des Pères de l’Église nommés Pères apostoliques car ayant connu des Apôtres. Il fut le troisième évêque d’Antioche (vers 68-vers 107). Il était surnommé Théophore, ace qui signifie porteur de Dieu. Il fut déporter à Rome où il mourut dans l’arène, dévoré par les bête entre 107 et 117 sous l’empereur Trajan. Je vous invite à consulter sa fiche Christ-Roi.net : ici et sa fiche Christroi.over-blog.comici.

B) Les protestants sont obligés de reconnaître son autorité

Il est connu pour ses lettres qu’il laissa aux chrétiens se trouvant sur le chemin de sa déportation vers Rome. Pendant longtemps, les écrivains protestants ont refusé de reconnaître l’authenticité de ces lettres. Mais les historiens protestants les plus érudits et les plus sérieux en sont revenus. L’historien protestant Adolph von HARNACK a mit fin aux doutes et reconnaît le grand intérêt de ces lettres dans les termes suivants :

« Sa valeur personnelle (celle de saint Ignace d’Antioche) comme chrétien et comme écrivain le rapproche plus que tous les autres des grands apôtres Paul et Jean, bien qu’il en reste encore loin. En même temps, il représente si bien l’Eglise naissante que c’est précisément pour le motif que beaucoup de savants protestant plus de deux siècles, se sont refusés à reconnaître dans ses lettres des documents authentiques du temps de Trajan. les lettres d’Ignace sont ce que cette époque nous a laissé de plus magnifique; elles nous ravissent par la flamme et l’éclat d’une âme qui aspire à être arrachée à la terre par une mort affreuse et céleste. »

L’appréciation de Harnack laisse supposer chez saint Ignace des paroles purement catholiques. Et cela n’est que trop vrai comme nous allons le voir.

C) Saint Ignace se dirigeait vers la mort n’avait aucun intérêt à mentir et tout intérêt à ne pas mentir

Ignace d\'Antioche, martyr.jpg

Lors de la rédaction de ses lettres, saint Ignace était prisonnier des romains qui le conduisaient à Rome où il devait être martyrisé en étant dévoré par les lions dans l’arène. Il avait eu vent d’une volonté des chrétiens de Rome qui avaient entrepris des démarches auprès de l’empereur pour le faire gracier, inspiré par Dieu, il leur conjura de n’en rien faire, pour que son sort serve d’exemple et que son sang soit semence de chrétiens (pour reprendre la célèbre formule que Tertullien écrira un siècle plus tard : « Le sang des martyres est une semence de chrétiens« ). Il pousse même la logique jusqu’à dire que ce n’est que par sa mort qu’il sera « vraiment disciple de Jésus-Christ« , ou qu’il « commence à être disciple« , et il appelle même sa vie sur terre sa mort et sa mort physique sa vie : « Pardonnez-moi, frères, ne m’empêchez pas de vivre, ne complotez pas ma mort« . Laissons la parole à l’intéressé :

« Car je ne veux pas que vous plaisiez aux hommes, mais que vous plaisiez à Dieu, comme, en fait, vous lui plaisez. Pour moi, jamais je n’aurai une telle occasion d’atteindre Dieu, et vous, si vous gardez le silence, vous ne pouvez souscrire à une oeuvre meilleure. Si vous gardez le silence à mon sujet, je serai à Dieu ; mais si vous aimez ma chair, il me faudra de nouveau courir. Ne me procurez rien de plus que d’être offert en libation à Dieu (cf. Ph 2, 17; 2 Tm 4, 6), tandis que l’autel est encore prêt, afin que, réunis en choeur dans la charité, vous chantiez au Père dans le Christ Jésus, parce que Dieu a daigné faire que l’évêque de Syrie fût trouvé en lui, l’ayant fait venir du levant au couchant. Il est bon de se coucher loin du monde vers Dieu, pour se lever en lui. […]

Moi, j’écris à toutes les Églises, et je mande à tous que moi c’est de bon cœur que je vais mourir pour Dieu, si du moins vous vous ne m’en empêchez pas. Je vous en supplie, n’ayez pas pour moi une bienveillance inopportune. Laissez-moi être la pâture des bêtes, par lesquelles il me sera possible de trouver Dieu. Je suis le froment de Dieu, et je suis moulu par la dent des bêtes, pour être trouvé un pur pain du Christ. Flattez plutôt les bêtes, pour qu’elles soient mon tombeau, et qu’elles ne laissent rien de mon corps, pour que, dans mon dernier sommeil, je ne sois à charge à personne. C’est alors que je serai vraiment disciple de Jésus-Christ, quand le monde ne verra même plus mon corps. Implorez le Christ pour moi, pour que, par l’instrument des bêtes, je sois une victime offerte à Dieu. Je ne vous donne pas des ordres comme Pierre et Paul : eux, ils étaient libres, et moi jusqu’à présent un esclave (cf. 1 Co 9, 1). Mais si je souffre, je serai un affranchi de Jésus-Christ (1 Co 7, 22) et je renaîtrai en lui, libre. Maintenant enchaîné, j’apprends à ne rien désirer.

Depuis la Syrie jusqu’à Rome, j’ai à lutter avec les bêtes sur terre et sur mer, la nuit et le jour : je suis attaché à dix léopards, qui sont les soldats de mon escorte. Quand je leur fais du bien, ils deviennent pires : à leurs injustices, je deviens de plus en plus disciple, mais je n’en suis pas pour cela justifié. Du moins que je puisse jouir des bêtes qui me sont préparées : je prie afin de les trouver le plus tôt possible. Je les caresserai afin qu’elles me dévorent rapidement, et qu’elles ne me fassent comme à certains, qu’elles ont eu peur de toucher ; si elles s’y refusent, je les y forcerai. Pardonnez-moi ; mais je sais ce qu’il me faut, et voici que je commence à être un disciple. Que les choses visibles ou invisibles n’occupent plus mon désir, afin que j’obtienne Jésus-Christ. Feu, croix, attaque des bêtes, rupture des os, séparation des membres, broiement de tout le corps, supplices du diable, que tout cela vienne sur moi, pourvu seulement que j’obtienne Jésus-Christ.

Que me feraient les douceurs de ce monde et les empires de la terre ? Il est plus beau de mourir pour le Christ Jésus que de régner jusqu’aux extrémités de l’univers. C’est lui que je cherche, lui qui est mort pour nous ; c’est lui que je désire, lui qui est ressuscité pour nous. Mon enfantement approche. Pardonnez-moi, frères, ne m’empêchez pas de vivre, ne complotez pas ma mort. Celui qui veut appartenir à Dieu, ne le livrez pas au monde, ni aux séductions de la terre. Laissez-moi embrasser la pure lumière ; quand je serai arrivé là, je serai un homme. Permettez-moi d’imiter la passion de mon Dieu. Si quelqu’un le possède en lui, qu’il comprenne ce que je veux et qu’il ait compassion de moi, connaissant ce qui m’étreint.

Le Prince de ce monde veut m’arracher à Dieu et corrompre les sentiments que j’ai envers Dieu. Vous qui êtes là, ne lui venez pas en aide; soyez plutôt pour moi, c’est-à-dire pour Dieu. N’ayez pas Jésus-Christ sur les lèvres, et le monde dans le cœur. Ne vous laissez pas gagner par l’envie. Et quand je serai près de vous, si je vous implore, ne me croyez pas. Croyez plutôt à ce que je vous écris. C’est plein de vie que je vous écris, désirant mourir. Mon Amour a été crucifié, et il n’y a plus en moi de feu pour aimer la matière, mais coule en moi une eau vive qui murmure et dit au-dedans de moi: « Viens vers le Père ». Je ne me plais plus aux nourritures périssables, ni aux plaisirs de cette vie ; c’est le Pain de Dieu que je veux, ce Pain qui est la chair de Jésus-Christ, de la race de David ; et pour boisson, je veux son sang, qui est l’amour incorruptible.

Je ne veux plus vivre parmi les hommes. Il en sera ainsi, si vous le voulez. Exaucez-moi, pour qu’un jour, vous aussi, vous soyez exaucés. Je vous le demande en peu de mots : croyez-moi, Jésus-Christ vous montrera que je dis vrai ; il est la bouche sans mensonge par laquelle le Père a parlé en vérité. Demandez pour moi que je Le rencontre. Ce n’est pas selon la chair que je vous écris, mais selon la pensée de Dieu. Si je souffre, vous m’aurez montré de la bienveillance, si j’échappe au supplice, vous m’aurez haï.  » (Lettre aux Romains, II et IV-VIII)

Saint Ignace était donc destiné à la mort, et repoussait même les tentatives pour le sauver. Aussi, sa doctrine ne peut pas être mensongère car non seulement il n’aurait jamais pu « profiter », mais au contraire elle l’aurait avec certitude et dans un délai très court, envoyé en enfer !

D) La réception de ses lettres par la génération apostolique

1) Leur approbation totale par les Eglises d’Asie mineure

Saint Ignace pour sa part écrivit ses lettres vers 107. Aussi il n’aurait jamais écrit une telle erreur à un lectorat qui aurait été enseigné jusque quelques années avant (et peut-être même l’année immédiatement précédente) par saint Jean, sous peine de n’avoir aucune crédibilité. Et la réception de ces lettres par les chrétiens d’Asie mineure fut archi-favorable. Saint Polycarpe de Smyrne (vers 69-155), disciple de saint Jean lui aussi, témoigne de sa vénération, ainsi que celle de l’Eglise de Philippes (et donc sans doute de toute l’Asie mineure) pour ces lettres :

« Comme vous nous l’avez demandé, nous vous envoyons les lettres d’Ignace, celles qu’il nous a adressées et toutes les autres que nous avons chez nous ; elles sont jointes à cette lettre. De fait vous pourrez en tirer grand profit, car elles renferment foi, patience, et toute édification dues à notre Seigneur. Faites-nous savoir ce que vous aurez appris de sûr d’Ignace et de ses compagnons. » (Lettre aux Philippiens, XIII)

2) Les Eglises d’Asie mineure avait été irradiée par l’enseignement de l’apôtre saint Jean jusqu’à très récemment

Or comme cette région fut irradiée par l’enseignement de saint Jean, qui finit sa vie à Ephèse, jusqu’entre 98 et 106. En effet :

« Jean revint sous Nerva à Ephèse, où il demeura jusqu’au règne de Trajan. Il employa ce temps à fonder et à diriger les Eglises d’Asie. » (Saint Jérôme, Les hommes illustres, IX)

Eusèbe de Césarée développe cet épisode ainsi :

« En ce temps en Asie, survivait encore Jean, celui que Jésus aimait, qui fut à la fois apôtre et évangéliste. Il gouvernait les églises de ce pays après être revenu, à la mort de Domitien, de l’île où il avait été exilé. Que jusqu’à cette époque, il fut encore de ce monde, deux témoins suffisent à le prouver, et ils sont dignes de foi, ayant enseigné l’orthodoxie ecclésiastique ; l’un est Irénée, l’autre Clément d’Alexandrie. Le premier, au second livre de son ouvrage Contre les hérésies, écrit ainsi en propres termes :

« Tous les presbytres qui se sont rencontrés en Asie avec Jean le disciple du Seigneur, témoignent qu’il leur a transmis cela : il demeura en effet parmi eux jusqu’aux temps de Trajan. »

Au troisième livre du même traité, Irénée exposa encore la même chose en ces termes :

« Mais l’Église d’Ephèse, fondée par Paul et où demeura Jean jusqu’à l’époque de Trajan, est aussi un témoin véritable de la tradition des apôtres. »

Clément nous indique également cette date et il raconte une histoire fort utile à entendre pour ceux qui se plaisent aux choses belles et profitables. Elle est dans son traité intitulé : Quel riche est sauvé. Prenez- la et lisez-la, telle qu’elle est dans son texte :

« Ecoute une fable, qui n’est pas une fable, mais un récit transmis par la tradition et gardé par le souvenir, au sujet de Jean l’apôtre.

Après la mort du tyran, l’apôtre quitta l’île de Patmos pour Ephèse et il alla appelé par les pays voisins des Gentils, tantôt y établir des évêques, tantôt y organiser des églises complètement, tantôt choisir comme clerc chacun de ceux qui étaient signalés par l’Esprit. » » (Histoire ecclésiastique, III, 23)

Saint Ignace ayant donc connu deux Apôtres et étant mort au début du deuxième siècle seulement prêchait une foi parfaitement Catholique. En voici la preuve :

II) La Présence Réelle du Christ dans l’Eucharistie

« Ils s’abstiennent de l’eucharistie et de la prière, parce qu’ils ne confessent pas que l’eucharistie est la chair de notre Sauveur Jésus-Christ, qui a souffert pour nos péchés, et que dans sa bonté le Père a ressuscitée. » (Lettre aux Smyrniotes VII)

Saint Ignace parle ici des hérétiques docètes pour qui le Christ n’avait pas de nature humaine et pour qui le corps de ce dernier n’était qu’une illusion et n’existait donc pas. Qu’ils refusent ainsi de participer à l’Eucharistie au motif que ce ne serait pas la Chair du Christ prouve bien que les chrétiens de l’époque voyaient dans l’Eucharistie la chair physique du Christ

III) La hiérarchie catholique évêque-prêtres-diacres et la Papauté

Lire notre article : Saint Ignace d’Antioche (✟107) sur la hiérarchie ecclésiastique

IV) La sanctification du Dimanche et non plus du Samedi

« Si donc ceux qui vivaient dans l’ancien ordre de choses [juif]  sont venus à la nouvelle espérance, n’observant plus le sabbat, mais le jour du Seigneur [le dimanche], jour où notre vie s’est levée par lui et par sa mort, quelques-uns le nient; mais c’est par ce mystère que nous avons reçu la foi, et c’est pour cela que nous tenons ferme afin d’être trouvés de véritables disciples de Jésus-Christ, notre seul maître. » (Lettre aux Magnésiens IX)

V) La confession à un prêtre

« Pour tous ceux qui se repentent, le Seigneur accorde le pardon, s’ils se tournent vers l’unité de Dieu dans la pénitence, et en communion avec l’évêque. » (Lettre aux Philadelphiens)

A quoi servirait la communion avec l’évêque si on se confessait juste à Dieu mentalement ? Les Apôtres ont reçu le pouvoir de remettre les péchés (Jean XX, 22-23), ils ont transmis ce pouvoir aux évêques leurs successeurs, qui eux même transmettent le sacerdoce (non dans sa plénitude) aux prêtres, qui, selon le discipline de l’Eglise, doivent, sauf certaines exceptions, avoir l’autorisation de l’évêque pour recevoir en confession

VI) La nécessité des bonnes œuvres

« Vos dépôts, ce sont vos oeuvres, afin que vous receviez comme il convient les sommes auxquelles vous avez droit. » (Lettre à Polycarpe VI)

 

25 commentaires sur “La doctrine de saint Ignace d’Antioche

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