+†+Yesus Kristus azu+†+

« Il n’est pour l’âme aliment plus suave que la connaissance de la vérité » (Lactance)

La Foi catholique, on la possède tout entière, ou on ne la possède pas du tout !

Concile de Florence et Symbole d’Athanase

Duomo Florence

Le Concile de Florence dogmatise deux fois la Symbole d’Athanase :

« [La très sainte Église romaine, fondée par la voix de notre Seigneur et Sauveur, croit fermement, professe et prêche] croit fermement, professe et prêche qu’une seule personne de la Trinité, vrai Dieu Fils de Dieu né du Père, consubstantiel et coéternel au Père, dans la plénitude de temps disposée par l’inscrutable profondeur du dessein divin a pour le salut du genre humain assumé dans le ventre immaculé de la Vierge Marie la vraie et entière nature d’un homme et se l’est attachée dans l’unité d’une personne avec une si profonde unité que tout ce qui en elle est de Dieu n’est pas séparé de l’homme et tout ce qui est de l’homme n’est pas divisé de la divinité, mais qu’il est un seul et même indivisible, chacune des deux natures subsistant dans ses propriétés, Dieu et homme, Fils de Dieu et Fils de l’homme « égal au Père selon la divinité, inférieur au Père selon son humanité » [Profession de foi du Pseudo-Athanase : *76], immortel et éternel de par la nature de la divinité, passible et temporel de par la condition de l’humanité assumée. » (Bulle Cantate Domino sur l’union avec les coptes et les Ethiopiens, 4 février 1442 (1441 selon le comput de Florence), Décret pour les jacobites)

Et le répète dans la Bulle Exsultate Deo, 22 novembre 1439 – Sur l’union avec les Arméniens.

Or ledit Symbole d’Athanase proclame :

« Quiconque veut être sauvé, doit avant tout tenir la foi catholique : celui qui ne la garde pas intègre et inviolée ira, sans aucun doute, à sa perte éternelle. Or la foi catholique consiste en ceci : […] Telle est la foi catholique : si quelqu’un ne la croit pas fidèlement et fermement, il ne pourra être sauvé. » (http://catho.org/9.php?d=bvy#cjl)

Clément XIII

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« Il arrive parfois que facilement un mensonge diabolique, avec une certaine apparence de vérité, soit recouvert de mensonges colorés, tandis que l’efficacité des sentences est corrompue par un ajout ou un changement très bref, de sorte que le témoignage qui a apporté le salut, parfois avec une transition subtile conduit à la mort. […]

Les Pontifes romains Nos prédécesseurs, le sachant parfaitement, ont mis tous leurs efforts pour écraser non seulement avec le glaive de l’anathème les germes empoisonnés des erreurs dès leur naissance, mais aussi pour amputer certaines idées effervescentes qui, peut-être par excès, empêchaient dans le peuple chrétien une plus généreuse fécondité de la foi, ou pouvaient nuire aux âmes des fidèles par une trop grande proximité avec l’erreur. C’est pourquoi, après la condamnation par le Concile de Trente des hérésies qui avaient alors cherché à ternir la splendeur de l’Église, et la mise en lumière de la vérité catholique, ayant en quelque sorte banni le brouillard de l’erreur. […] Car là où il n’y a pas de midi, et où donc la lumière n’est pas si claire que la vérité soit ouvertement connue, facilement à sa place le faux est reçu à cause d’une certaine vraisemblance, qui dans l’obscurité est à peine discernée du vrai. Car ils savaient qu’il y avait eu auparavant, et qu’il y aurait à l’avenir, ceux qui pouvaient inviter les bergers et promettre des pâturages plus abondants de sagesse et de connaissance : vers ceux-ci, beaucoup afflueraient, car les eaux furtives sont plus douces et le pain caché est plus doux (Pr 9, 17). » (Encyclique In Dominico Agro, 14 juin 1761 – Sur le discours que doivent tenir les évêques et l’utilisation du catéchisme du concile de Trente, n° 2 et 4)

Pie IX

« Nous déclarons, Nous prononçons et définissons que la doctrine qui enseigne que la Bienheureuse Vierge Marie, dans le premier instant de sa Conception, a été, par une grâce et un privilège spécial du Dieu Tout-Puissant, en vue des mérites de Jésus-Christ, Sauveur du genre humain, préservée et exempte de toute tache du péché originel, est révélée de Dieu, et par conséquent qu’elle doit être crue fermement et constamment par tous les fidèles.

C’est pourquoi, si quelques-uns avaient la présomption, ce qu’à Dieu ne plaise, de penser contrairement à Notre définition, qu’ils apprennent et qu’ils sachent que condamnés par leur propre jugement ils ont fait naufrage dans la foi et cessé d’être dans l’unité de l’Eglise ; et que, de plus, ils encourent par le fait même les peines de droit, s’ils osent exprimer ce qu’ils pensent de vive voix ou par écrit, ou de toute autre manière extérieure que ce soit. » (Constitution Apostolique Ineffabilis Deus, 8 décembre 1854 – Définition du dogme de l’Immaculée Conception)

Léon XIII

Encyclique Sapientiae Christianae du 10 janvier 1890 – Sur les principaux devoirs chrétiens

« 30 – La foi chrétienne ne repose pas sur l’autorité de la raison humaine, mais sur celle de la raison divine ; car, ce que Dieu nous a révélé, « nous ne le croyons pas à cause de l’évidence intrinsèque de la vérité, perçue par la lumière naturelle de notre raison, mais à cause de l’autorité de Dieu, qui révèle et qui ne peut ni se tromper, ni nous tromper ». Il résulte de là que, quelles que soient les choses manifestement contenues dans la révélation de Dieu, nous devons donner à chacune d’elles un égal et entier assentiment. Refuser de croire à une seule d’entre elles équivaut, en soi, à les rejeter toutes. Car ceux-là détruisent également le fondement de la foi, qui nient que Dieu ait parlé aux hommes, ou qui mettent en doute sa vérité et sa sagesse infinie.

31 – Quant à déterminer quelles doctrines sont renfermées dans cette révélation divine, c’est la mission de l’Église enseignante, à laquelle Dieu a confié la garde et l’interprétation de sa parole ; dans l’Église, le docteur suprême est le Pontife Romain. L’union des esprits réclame donc, avec un parfait accord dans la même foi, une parfaite soumission et obéissance des volontés à l’Église et au pontife Romain, comme à Dieu lui-même.

La soumission au magistère

32 – L’obéissance doit être parfaite, parce qu’elle appartient à l’essence de la foi, et elle a cela de commun avec la foi qu’elle ne peut pas être partagée. Bien plus, si elle n’est pas absolue et parfaite de tout point, elle peut porter encore le nom d’obéissance, mais elle n’a plus rien de commun avec elle. La tradition chrétienne attache un tel prix à cette perfection de l’obéissance, qu’elle en a toujours fait et en fait toujours le signe caractéristique auquel on peut reconnaître les catholiques. C’est ce que saint Thomas d’Aquin explique d’une manière admirable dans le passage suivant :

33 – « L’objet formel de la foi est la vérité première, en tant qu’elle est manifestée dans les Saintes Écritures et dans la doctrine de l’Église, qui procèdent de la vérité première. Il suit de là que quiconque n’adhère pas, comme à une règle infaillible et divine, à la doctrine de l’Église, qui procède de la vérité première manifestée dans les Saintes Écritures, n’a pas la foi habituelle, mais possède autrement que par la foi les choses qui sont de son domaine… Or, il est manifeste que celui qui adhère à la doctrine de l’Église comme à une règle infaillible donne son assentiment à tout ce que l’Église enseigne ; autrement, si, parmi les choses que l’Église enseigne, il retient ce qui lui plaît et exclut ce qui ne lui plaît pas, il adhère à sa propre volonté et non à la doctrine de l’Église, en tant qu’elle est une règle infaillible. La foi de toute l’Église doit être Une, selon cette parole de saint Paul aux Corinthiens (I Cor., 1) : « Ayez tous un même langage et qu’il n’y ait pas de division parmi vous. » Or, cette unité ne saurait être sauvegardée qu’à la condition que les questions qui surgissent sur la foi soient résolues par celui qui préside à l’Église tout entière, et que sa sentence soit acceptée par elle avec fermeté. C’est pourquoi à l’autorité du Souverain Pontife seul il appartient de publier un nouveau symbole, comme de décerner toutes les autres choses qui regardent l’Église universelle « . »

Encyclique Satis Cognitum du 29 juin 1896 – De l’unité de l’Eglise

« Soucieuse de son devoir, l’Eglise n’a jamais rien eu de plus à coeur, rien poursuivi avec plus d’effort, que de CONSERVER DE LA FAÇON LA PLUS PARFAITE L’INTÉGRITÉ DE LA FOI. C’est pourquoi elle a regardé comme des rebelles déclarés, et chassé loin d’elle tous ceux qui ne pensaient pas comme elle, sur n’importe quel point de sa doctrine. Les Ariens, les Montanistes, les Novatiens, les Quartodécimans, les Eutychiens n’avaient assurément pas abandonné la doctrine catholique tout entière, mais seulement telle ou telle partie : et pourtant qui ne sait qu’ils ont été déclarés hérétiques et rejetés du sein de l’Eglise ? Et un jugement semblable a condamné tous les fauteurs de doctrines erronées qui ont apparu dans la suite aux différentes époques de l’histoire. « Rien ne saurait être plus dangereux que ces hérétiques qui, conservant en tout le reste l’intégrité de la doctrine, par un seul mot, comme par une goutte de venin, corrompent la pureté et la simplicité de la foi que nous avons reçue de la tradition dominicale, puis apostolique » [Saint Grégoire d’Elvire, Traité de la Foi orthodoxe contre les Ariens]. Telle a été toujours la coutume de l’Eglise, appuyée par le jugement unanime des saints Pères, lesquels ont toujours regardé comme exclu de la communion catholique et hors de l’Eglise quiconque se sépare le moins du monde de la doctrine enseignée par le magistère authentique. Epiphane, Augustin, Théodoret ont mentionné chacun un grand nombre des hérésies de leur temps. Saint Augustin remarque que d’autres espèces d’hérésies peuvent se développer, et que, si quelqu’un adhère à une seule d’entre elles, par le fait même, il se sépare de l’unité catholique. « De ce que quelqu’un, dit-il, ne croit point ces croire et se dire chrétien catholique. Car il peut y avoir, il peut surgir d’autres hérésies qui ne soient pas mentionnées dans cet ouvrage, et quiconque catholique » (De Hæresibus, n. 88) […]

Il est donc évident, d’après tout ce qui vient d’être dit, que Jésus-Christ a institué dans l’Eglise un magistère vivant, authentique et, de plus, perpétuel [58], qu’Il a investi de Sa propre autorité, revêtu de l’esprit de vérité, confirmé par des miracles, et Il a voulu et très sévèrement ordonné que les enseignements doctrinaux de ce magistère fussent reçus comme les Siens propres. Toutes les fois donc que la parole de ce magistère déclare que telle ou telle vérité fait partie de l’ensemble de la doctrine divinement révélée, chacun doit croire avec certitude que cela est vrai ; car si cela pouvait en quelque manière être faux, il s’ensuivrait, ce qui est évidemment absurde, que Dieu Lui-même serait l’auteur de l’erreur des hommes.

« Seigneur, si nous sommes dans l’erreur, c’est Vous-même qui nous avez trompés » [59]. Tout motif de doute étant ainsi écarté, peut-il être permis à qui que ce soit de repousser quelqu’une de ces vérités, sans se précipiter ouvertement dans l’hérésie, sans se séparer de l’Eglise et sans répudier en bloc toute la doctrine chrétienne ? Car telle est la nature de la foi que rien n’est plus impossible que de croire ceci et de rejeter cela. L’Eglise professe, en effet, que la foi est une vertu surnaturelle par laquelle, sous l’inspiration et avec le secours de la grâce de Dieu, nous croyons que ce qui nous a été révélé par Lui est véritable : nous le croyons, non point à cause de la vérité intrinsèque des choses vue dans la lumière naturelle de notre raison, mais à cause de l’autorité de Dieu Lui-même qui nous révèle ces vérités, et qui ne peut ni Se tromper ni nous tromper ». Si donc il y a un point qui ait été évidemment révélé par Dieu et que nous refusions de le croire, nous ne croyons absolument rien de la foi divine. Car le jugement que porte saint Jacques au sujet des fautes dans l’ordre moral, il faut I’appliquer aux erreurs de pensée dans l’ordre de la foi.

« Quiconque se rend coupable en un seul point, devient transgresseur de tous » [60]. Cela est même beaucoup plus vrai des erreurs de la pensée. Ce n’est pas, en effet, au sens le plus propre qu’on peut appeler transgresseur de toute la loi celui qui a commis une faute morale ; car s’il peut sembler avoir méprisé la majesté de Dieu, auteur de toute la loi, ce mépris n’apparaît que par une sorte d’interprétation de la volonté du pécheur. Au contraire, celui qui, même sur un seul point, refuse son assentiment aux vérités divinement révélées, très réellement abdique tout à fait la foi, puisqu’il refuse de se soumettre à Dieu en tant qu’il est la souveraine vérité et le motif propre de foi. « En beaucoup de points ils sont avec Moi, en quelques-uns seulement, ils ne sont pas avec Moi ; mais à cause de ces quelques points dans lesquels ils se séparent de Moi, il ne leur sert de rien d’être avec Moi en tout le reste » [61].

Rien n’est plus juste : car ceux qui ne prennent de la doctrine chrétienne que ce qu’ils veulent, s’appuient sur leur propre jugement et non sur la foi ; et, refusant de « réduire en servitude toute intelligence sous l’obéissance du Christ » [62], ils obéissent en réalité à eux-mêmes plutôt qu’à Dieu. « Vous qui dans l’Évangile croyez ce qui vous plaît et refusez de croire ce qui vous déplaît, vous croyez à vous-mêmes, beaucoup plus qu’à l’Evangile » [63]. Les Pères du Concile du Vatican n’ont donc rien édicté de nouveau, mais ils n’ont fait que se conformer à l’institution divine, à l’antique et constante doctrine de l’Eglise et à la nature même de la foi, quand ils ont formulé ce décret : « On doit croire, de foi divine et catholique, toutes les vérités qui sont contenues dans la parole de Dieu écrite ou transmise par la tradition et que l’Eglise, soit par un jugement solennel, soit par son magistère ordinaire et universel, propose comme divinement révélée » [64]. ». » (Encyclique Satis Cognitum du 29 juin 1896 – De l’unité de l’Eglise)

Benoît XV

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« La Foi catholique est d’une nature telle, qu’on ne peut rien lui ajouter, rien lui retrancher : ou on la possède tout entière, ou on ne la possède pas du tout : Haec est fides catholica, quam nisi quisque fideliter firmiterque crediderit, salvus esse non poterit. [28] Il n’est pas besoin de qualificatifs pour signifier la profession du catholicisme ; à chacun il suffit de dire : Christianus mihi nomen, catholicus cognomen. » (Encyclique Ad Beatissimi Apostolorum Principis, 1er novembre 1914 – Sur les horreurs de la guerre et les exigences de la charité chrétienne)

Pie XI

« De plus, quant aux vérités à croire, il est absolument illicite d’user de la distinction qu’il leur plaît d’introduire dans les dogmes de foi, entre ceux qui seraient fondamentaux et ceux qui seraient non fondamentaux, comme si les premiers devaient être reçus par tous tandis que les seconds pourraient être laissés comme matières libres à l’assentiment des fidèles : la vertu surnaturelle de foi a en effet, pour objet formel l’autorité de Dieu révélant, autorité qui ne souffre aucune distinction de ce genre. C’est pourquoi tous les vrais disciples du Christ accordent au dogme de l’Immaculée Conception de la Mère de Dieu la même foi que, par exemple, au mystère de l’Auguste Trinité, et de même ils ne croient pas à l’Incarnation de Notre Seigneur autrement qu’au magistère infaillible du Pontife Romain dans le sens, bien entendu, qu’il a été défini par le Concile œcuménique du Vatican. Car, de la diversité et même du caractère récent des époques où, par un décret solennel, l’Eglise a sanctionné et défini ces vérités, il ne s’ensuit pas qu’elles n’ont pas la même certitude, qu’elles ne sont pas avec la même force imposées à notre foi : n’est-ce pas Dieu qui les a toutes révélées ? » (Encyclique Mortalium animos, 6 janvier 1928 – Sur les véritables principes de l’unité des chrétiens)

Pie XII

« C’est pourquoi, après avoir adressé à Dieu d’incessantes et suppliantes prières, et invoqué les lumières de l’Esprit de vérité, pour la gloire du Dieu Tout-Puissant, qui prodigua sa particulière bienveillance à la Vierge Marie, pour l’honneur de son Fils, Roi immortel des siècles et vainqueur de la mort et du péché, pour accroître la gloire de son auguste Mère et pour la joie et l’exultation de l’Eglise tout entière, par l’autorité de Notre-Seigneur Jésus-Christ, des bienheureux apôtres Pierre et Paul, et par la Nôtre, Nous proclamons, déclarons et définissons que c’est un dogme divinement révélé que Marie, l’Immaculée Mère de Dieu toujours Vierge, à la fin du cours de sa vie terrestre, a été élevée en âme et en corps à la gloire céleste.

C’est pourquoi, si quelqu’un — ce qu’à Dieu ne plaise — osait volontairement nier ou mettre en doute ce que Nous avons défini, qu’il sache qu’il a fait complètement défection dans la foi divine et catholique. » (Constitution Apostolique Munificentissimus Deus, 1er novembre 1950 – Proclamation du dogme de l’Assomption, § 44 et 45)

3 commentaires sur “La Foi catholique, on la possède tout entière, ou on ne la possède pas du tout !

  1. Stephane
    13 mars 2024

    bonjour ! je ne comprends pas dans quel sens Saint Athanase dit ceci >>> « …professe et prêche qu’une seule personne de la Trinité… » <<< car j’ai toujours pensé que Dieu est Un en 3 personnes et apparement Jésus, les Séraphins et les 4 êtres vivants au ciel le confirmeraient :

    Jésus : « Baptisez-les au Nom du Père, du Fils et de l’Esprit-Saint »

    Les Séraphins et les 4 êtres vivants au ciel : « Saint ! Saint ! Saint ! le Seigneur Dieu de l’univers. » (Isaïe 6v1 à 3 et Apocalypse 4v8)

    Merci pour votre réponse !

    Je suis catholique de naissance et j’espère mourir catholique par la Grâce de Dieu.

    • Ressources Catholiques
      8 avril 2024

      Bonjour, bien sur que Dieu est trois personnes en une seule substance, mais le passage concerné ne traite que de la Personne du Fils et de son Incarnation (que cette année nous fêtons aujourd’hui à la place du 25 mars, il est providentiel que je vous réponde aujourd’hui !)

      • Stéphane
        9 avril 2024

        Bonjour et merci pour votre réponse claire, effectivement si cela concerne la 2nde Personne de la Sainte Trinité : Jésus-Christ Fils du Dieu Vivant !

        25 mars, 2 jours après mon jour et même mois de naissance !

        Cette année Hannoukka et Noël se fêtent le même jour aussi : le Mercredi 25 décembre 2024

        Et une petite recherche et sûrement guidé par la Sainte Trinité en passant par la Très Sainte Vierge Marie Mère de Dieu et notre Mère, voici ce qu’il en est sur Noël le 25 décembre (en parallèle avec la recherche de St-Jean Chrysostome) :

        Si l’on transpose les personnages du livre d’Esther : le roi c’est Dieu, la 1ere reine vashti désobéissante c’est la 1ere eve et Esther c’est la 2nde eve obéissante et donc Marie. Au chapitre 2v16 à 17 d’Esther, on dit que Esther doit se présenter devant le Roi et *elle plu au roi plus que toutes les autres filles* et *celui-ci la couronne à la place de la désobéissance de vashti la 1ere reine qui a perdu son titre* . Le couronnement d’Esther se fait le *10eme mois du calendrier juif : mois de Tévet* (le texte dit que ce couronnement eu lieu en la 7eme année du règne du roi : 7= chiffre de la plénitude) et *le mois de tévet correspond au mois de décembre du calendrier grégorien et donc chrétien* . Et j’apprends que Esther est *couronné le 1er du mois de Tévet en l’an -362 qui est = au 25 décembre* ! (il y a sur le net un convertisseur de calendrier juif à calendrier gregorien pour vérifier). conclusion *Marie enveloppé (couronnée) de l’Esprit-Saint par Dieu le Roi des rois pour accueillir son Fils Jésus-Christ notre Seigneur le 25 décembre (1er Tévet juif* ) on retrouve aussi une grande parallèle entre : Esther 2v17 et cantique des cantiques 6v8 à 9 qui lui-même est lié à Luc 1v41 à 42 où là encore l’Esprit-Saint est présent !

        Bonne journée à vous et encore merci pour votre travail !

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Cette entrée a été publiée le 12 mars 2024 par dans Foi Catholique.