+†+Yesus Kristus azu+†+

« Il n’est pour l’âme aliment plus suave que la connaissance de la vérité » (Lactance)

La vérité sur les « Fausses Décrétales d’Isidore Mercator »

Toutes les preuves de la Papauté : ici

« Alors que la juridiction universelle du pape était généralement reconnue, des personnalités ecclésiastiques en dehors de Rome pensaient proposer des lois spécifiques qui seraient « sanctionnées » par l’autorité du pape. Assez souvent, on pense que les fausses décrétales sont l’origine de l’invention de la papauté. Mais le P. John Chapman répond à juste titre : « S’il n’avait pas déjà été fermement établi qu’une décrétale papale était une loi absolue pour l’Église, à quoi aurait-il servi d’en forger une ? » Imaginez un adolescent qui veut s’excuser. de ses jours d’école, et ainsi il falsifie une lettre de ses parents et de son médecin de famille. L’intérêt de rédiger un tel document est que les parents et le médecin ont tous deux l’autorité pour soutenir cette excuse » (Erick YBARRA, The Papacy: Revisiting the Debate Between Catholics and Orthodox)

De nombreux ennemis de la Papauté affirment que les évêques de Rome n’ont assis leur suprématie et instaurée la monarchie papale qu’à partir de la fin du VIIIè siècle sous le Pape Adrien Ier (772-795). Ils affirment que ce dernier fit rédiger des Fausses Décrétales par un sbire, prétendant être des documents des papes antérieurs affirmant avec force la doctrine de la papauté. Il les aurait ensuite remis à l’évêque de Metz, acquis à sa cause, afin que ce dernier propage les « mensonges papaux » pour imposer la domination romaine. Ces Fausses Décrétales, rédigées par l’évêque fictif Isidore Mercator donnent lieu à l’affaire des Fausses Décrétales d’Isidore Mercator. Si ces documents existent bel et bien et si ils sont effectivement des faux, absolument rien de la thèse antipapiste relative à leur origine, leur datation et leur motivation et leur influence n’est vrai ! C’est ce que nous allons démontrer dans cet article. Nous parlerons également brièvement de la Donation de Constantin, faux document à peu près contemporain des Fausses décrétales auxquelles elle fut adjointe, ce qui est peut-être ma raison pour laquelle elle est connue. Nous perlerons de son origine et de son absence totale d’influence réelle.

Voici le plan de notre étude :

I) Ces documents n’ont pas et ne pouvaient pas fonder la Papauté

A) Le grand nombre des témoignages antérieurs et incontestés

B) Ces documents supposent que la Papauté existait déjà

C) Les érudits protestants reconnaissent le fait

II) La vraie motivation du faussaire

A) Le besoin de faire échapper les Evêques de l’Ouest de la France aux dépositions politiques

B) Un grand nombre de vrais documents papistes absents : preuve que le but des Fausses décrétales n’était pas de justifier les prorogatives papales

III) L’attitude de l’Eglise catholique envers ces documents

A) Des documents regardés avec méfiance à Rome et très peu utilisés par les Papes

B) Ce sont des catholiques approuvés par les Papes qui démasquèrent ces documents

C) Des documents sans aucune influence car sans innovation par rapport à ce qui se faisait déjà

IV) Etudes d’historiens sur l’origine, la datation, la motivation et l’influence de ces documents

V) Origine et influence de la Donation de Constantin

I) Ces documents n’ont pas et ne pouvaient pas fonder la Papauté

A) Le grand nombre des témoignages antérieurs et incontestés

Il suffira à notre lecteur pour se rendre compte que les chrétiens, tant en Orient qu’en Occident, n’ont jamais eu besoin de ces documents pour être papistes, et ce bien avant le VIIIè siècle, de consulter notre article suivant :

La Papauté depuis les apôtres !

B) Ces documents supposent que la Papauté existait déjà

Les documents de cette collection, sont presque tous de Papes (ou prétendument de Papes), aussi nous devons en déduire que les lecteurs devaient déjà reconnaître l’autorité des Papes, sinon pourquoi auraient-ils obéi aussi facilement ? Dans le cas contraire les faussaires auraient dû produire des faux documents de beaucoup de Pères pour faire croire à l’apostolicité de leur mensonge. Donc si ces documents prouvent quelque chose, c’est que la Papauté était déjà un fait incontesté lors de leur rédaction. A tel point que la seule réelle nouveauté de ces documents, à savoir l’obligation de recourir à Rome pour changer un Evêque, est passée comme une lettre à la poste ! L’Eglise était tellement papiste que ces documents, à défaut d’être vrais, n’en étaient pas moins vraisemblables !

C) Les érudits protestants reconnaissent le fait

Bien que des anticatholiques aient prétendu qu’elles avaient eu pour but de rétablir et d’accroître la puissance des souverains Pontifes, cette opinion est combattue et renversée non-seulement par les écrivains catholiques, mais encore par les critiques protestants les plus érudits, tels que Ludwig Timotheus von SPITTLER (1752-1810) : Geschichte des canon. Rechts, bis auf die Zeiten des falschen Isidorus, 1788 S. 220, etc ; Federico Henrico KNUTS publia en 1832 De Fontibus et Consilio Pseudo-Isidorianae Collectionis comment. Goettingae, 1832 ; Friedrich Wilhelm WASSERSCHLEBEN (1812-1893) : Dissertatio de patria decretalium pseudo-Isidorianarum, Vratisl, 1843 ; August Friedrich GFRÖRER (1803-1861) : Ueber Alter, Ursprung, Zweck der Dekretalen des falschen Isidorus. In der Freibirger Zeitschrift fûr Theologie, 1847, tome XVII, chapitre 2, entre autres.

II) La vraie motivation du faussaire

A) Le besoin de faire échapper les Evêques de l’Ouest de la France aux dépositions politiques

Ferdinand LOT (186-1952), historien médiéviste français, membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, a écrit une étude en deux parties intitulée Textes manceaux et Fausses Décrétales. Première partie : Bibliothèque de l’École des chartes, Année 1940, n° 101  pp. 5-48 : cliquer ici. Deuxième partie : Bibliothèque de l’École des chartes, Année 1941, n° 102  pp. 5-34 : cliquer ici.

Johann Adam MÖHLER ou MOEHLER (1796-1838), pourtant membre de la très hérétique école théologique de Tübingen, écrit :

« L’auteur vivait dans un temps difficile, plein de troubles et d’angoisses ; les perturbations politiques avaient ébranlé l’Eglise ; les dissentiments et les violences des petits-fils de Charlemagne avaient fait peser sur elle une lourde oppression ; les évêques étaient violemment classés de leurs sièges on arbitrairement institués au gré des princes ; le clergé était en pleine décadence ; les tribunaux ecclésiastiques ne rendaient plus la justice, car les évêques étaient intimidés par les puissants du siècle ; la discipline, la moralité, le droit allaient disparaître ; on ne s’inquiétait plus des mesures que l’Eglise continuait de prendre contre tous ces désordres. Tout à coup, un canoniste zélé s’imagina qu’userait utile à son siècle, s’il évoquait d’anciens et de saints Papes, d’illustres conciles des temps primitifs, s’il faisait entendre en leur nom de salutaires enseignements; et, comme il n’existait pas de documents écrits de ces anciens Pères, de ces vieux conciles, il fabriqua des actes postérieurs à leur temps, qu’il attribua à ces personnages et à ces assemblées, dont les noms faisaient autorité. Son but principal était de sauvegarder la liberté de l’Eglise, qui était à ses yeux la condition d’un temps meilleur. Il recueillit par conséquent un grand nombre de textes sur la liberté de l’Eglise, son émancipation de la servitude de l’Etat, et, voyant que cette liberté ne pouvait être défendue efficacement par les évêques livrés aux mains et aux caprices de leurs souverains, il fit ressortir la sainte autorité du Siège Apostolique, qui pouvait plus facilement et plus sûrement sauve- garder la liberté de l’Eglise, dont il avait été en effet le protecteur et le garant dans les temps les plus critiques. C’est pourquoi le faux Isidore appelait sur Rome, et faisait valoir tout ce qui, dans le cours du temps, avait constitué les privilèges de ce siège éminent. C’était à sou forum que toutes les affaires importantes de l’Eglise devaient surtout se porter, parce que là seulement ou pouvait espérer un jugement exempt de partialité. » (Tubinger Quart.-Schr., 1829, 1832)

Et le protestant Friedrich Wilhelm WASSERSCHLEBEN (1812-1893) écrit :

« le faux Isidore exalte la primauté du Saint-Siège, non dans l’intérêt de Rome, mais dans celui des évêques. Chaque Décrétale démontre, pour ainsi dire, qu’il ne prétendait nullement amoindrir les droits des évêques, en rehaussant la primauté de l’évêque de Rome. » (Beiträge zur Geschichte der falschen Dekretalen Autor, Breslau, 1844)

B) Un grand nombre de vrais documents papistes absents : preuve que le but des Fausses décrétales n’était pas de justifier les prorogatives papales

Cette collection de faux documents papaux, dans laquelle ont trouve aussi des vrais, ne contient pas les vrais documents romains du premier millénaire affirmant la suprématie de l’Evêque de Rome (voir dans notre article La Papauté depuis les apôtres, les enseignements de saint Jules, saint Damase, saint Sirice, saint Anastase, saint Innocent, saint Zosime, saint Boniface, saint Célestin, saint Sixte III, saint Léon le Grand, saint Félix III, saint Gélase, saint Hormisdas, saint Pélage Ier, Jean II, Pélage II, saint Grégoire le Grand et saint Agathon). Pourquoi ces faussaires acharnés se sont-ils privés d’une telle source authentique de documents allant pourtant dans leur sens ? Tout simplement parce que la finalité de ces documents n’était pas de fonder la Papauté, mais de faire croire à l’obligation de certaines procédures canoniques pour la destitution et la nomination des Evêques, dans le contexte des guerres franco-bretonnes lors desquelles les Evêques frontaliers étaient volontiers démis par les vainqueurs successifs (cela est développé plus bas par des spécialistes).

III) L’attitude de l’Eglise catholique envers ces documents

A) Des documents regardés avec méfiance à Rome et très peu utilisés par les Papes

Le titre de cette section est une vérité qu’il fallait faire ressortir pour qu’on aille pas croire à tort que ces faux documents avaient eu une vraie influence sur le gouvernement et la doctrine de l’Eglise. Nous revoyons aux études poussées indiquées plus bas qui en produisent les preuves.

B) Ce sont des catholiques approuvés par les Papes qui démasquèrent ces documents

Posons-nous la question : qui a découvert la supercherie ? Un protestant ? Un anti-catholique ? Pas du tout ! Il s’agit du catholique Nicolas de Cuses qui dans son ouvrage De concordantia catholica (La Concordance catholique), rédigée en 1433/34. Fut-il condamné et persécuté par l’Eglise pour cela ? Non plus ! Le Pape Nicolas V le créa cardinal cinq ans après en 1448. Plus tard, suite à des difficultés en Allemagne pour certains de ses écrits, c’est le Pape Pie II en personne qui l’appela à Rome comme vicaire général du Pape et qui le chargea de proposer des mesures générales en vue de la réforme de l’Église !

Et au XVIè siècle les catholiques de France et d’Allemagne démontrèrent de manière péremptoire la fausseté de ces actes !

C) Des documents sans aucune influence car sans innovation par rapport à ce qui se faisait déjà

Nous revoyons  deux publications pour s’en convaincre.

Premièrement à l’opuscules (34 pages) de l’abbé Pierre-Théodore Rambouillet (1824-1889), Les fausses décrétales et les prérogatives du souverain-pontife : https://www.google.fr/books/edition/Les_fausses_d%C3%A9cr%C3%A9tales_et_les_pr%C3%A9roga/p6eNLxnUdEwC?hl=fr&gbpv=0. Cet ouvrage est recommandé par Mgr Louis-Gaston de SÉGUR (1820-1881) dans Le dogme de l’infaillibilité (Deuxième partie : Les objections contre cette doctrine, Chapitre II : Si la doctrine de l’infaillibilité du Pape repose sur les fausses Décrétales ; in : Œuvres de Mgr de Ségur, tome 6, pages 278 et 280).

Secondement, à l’abbé CONSTANT qui démontre que ces documents n’ont eu aucune influence, dans le tome II de son livre L’histoire et l’infaillibilité des Papes,  le chapitre 16 dont voici le sommaire :

ADRIEN Ier A-T-IL REMIS A L’EVEQUE DE METZ UNE COLLECTION DE FAUSSES DÉCRÉTALES ? ALEXANDRE III ET PLUSIEURS AUTRES PAPES EN ONT-ILS PAIT USAGE ?

Accusation de M. Henri Martin. 232

Les fausses décrétales inconnues du temps d’Adrien Ier. 234

Ses décrétales n’ont trait qu’à la discipline. 236

Les fausses décrétales sont composées d’anciens écrits. 237

— ont été reçues sans réclamation. 239

— n’ont rien innové sur la tenue des conciles. 240

— sur le droit d’appel. 242

— sur l’institution des légats. 243

— sur le droit de transfert et de transfert et de création des sièges. 246

D’ailleurs, pour ne donner qu’un exemple, l’Espagne n’a pas connu ces documents avant le XIIIè ou le XVè siècle, suivant les opinions, ce qui ne l’empêcha pas d’être papiste !

IV) Etudes d’historiens sur l’origine, la datation, la motivation et l’influence de ces documents

Je laisse la parole aux historiens qui démontrent l’origine non-romaine de ces documents, et leur influence minime sur la suite des événement. On lira au choix l’exposé de l’abbé Louis-Nazaire BÉGIN, furur cardinal (ici), de Mgr Justin FÈVRE (ici), de l’abbé Benjamin-Marcellin CONSTANT (ici), du Dictionnaire apologétique de la foi catholique (ici), ou la reproduction in extenso ci-dessous de ce que dit le Dictionnaire de Théologie Catholique à l’article Décrétales (les fausses) :

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V) Origine et influence de la Donation de Constantin

Plusieurs anticatholiques prétendent que ce faux document dans lequel Constantin donnerait à l’évêque de Rome la primauté sur les Eglises d’Orient ainsi que le pouvoir impérial sur l’Occident serait un des fondements mensongers de la Papauté, non seulement d’un point de vue religieux, mais aussi d’un point de vue politique contre les empereurs. Cette page Wikipédia en parle. La réalité est très différente. S’il est évident que ce document est un faux, il ne faut pas non plus oublier les points suivants :

– ce n’est pas ce document qui a fondé la suprématie romaine. Pour s’en convaincre il suffit de regarder ce dossier qui prouve la suprématie romaine dès la génération apostolique, bien avant la rédaction de ce faux (milieu du IXe siècle) : https://philosophieduchristianisme.wordpress.com/2017/11/28/la-papaute-depuis-les-apotres/. Par ailleurs la Papauté se serait « tiré une balle dans le pied » (pour ne pas dire « dans la tête ») si elle fondait sa suprématie sur ce document, puisque cela équivalait à déclarer que cette suprématie viendrait d’un pouvoir temporel et non de Dieu.

– nous ne savons pas dans quelle mesure les Papes ont usé de ce document lors de leurs controverses avec les empereurs, ni même si cette accusation est vraie, mais force est de constater : 1) qu’ils n’ont jamais revendiqué la possession temporelle de l’Occident ; 2) que les revendications papales sur ce fondement devaient être limitées (si tant est qu’elles aient existé) car on voit mal ce qu’elles aurait pu en tirer ! En effet, quelles étaient les « donations » de Constantin dans ce document ? a) la primauté sur les Églises d’Orient => comme nous l’avons vu, la Papauté l’avait déjà ; b) les églises du Latran, de Saint-Pierre et de Saint-Paul-hors-les-Murs et le palais du Latran => en quoi les empereurs auraient-ils pu contester au Pape la possession de bâtiments de la ville de Rome ? ; c) des biens dans diverses provinces de l’Empire => soit, les Papes s’en sont peut-être servi pour cela (encore que cela reste à démontrer), mais rien à voir avec une lutte pour la suprématie dans l’Eglise ; d) les insignes impériaux, et les insignes sénatoriaux à l’entourage du pape => les faits nous montrent que les Papes ne les ont jamais revendiquer ; e) Rome, l’Italie et de manière générale l’Occident => les faits nous montrent que les Papes ne les ont jamais revendiqué non plus.

– Les Papes ne se sont pas servi de ce document pour fonder l’existence des Etats de l’Eglise. Dire le contraire serait une aberration chronologique. Les Etats de l’Eglise (centre de l’Italie) ont été donné à la Papauté par Pépin le Bref en 754. Aussi à cette occasion cette « donation » n’a pas été invoquée, alors que cela aurait été l’occasion parfaite, et pour cause : elle fut réalisée un siècle après ! Preuve que la Papauté n’avait pas besoin de cela pour posséder une principauté temporelle. Et a posteriori cela n’aurait servi à rien de réaliser ce faux pour justifier ce don, Pépin le Bref n’avait-il pas le droit de donner de sa propre autorité une conquête au Pape ?

– Il est important de souligner que ceux qui ont débusqué le faux ont été loués et promus par l’Eglise ! D’abord Nicolas de Cuses qui, dans son ouvrage De concordantia catholica (La Concordance catholique), rédigée en 1433/34. Fut-il condamné et persécuté par l’Église pour cela ? Pas du tout ! Le Pape Nicolas V le créa cardinal en 1448. Plus tard, suite à des difficultés en Allemagne pour certains de ses écrits, c’est le Pape Pie II en personne qui l’appela à Rome comme vicaire général du Pape et qui le chargea de proposer des mesures générales en vue de la réforme de l’Église ! Et au XVIè siècle les catholiques de France et d’Allemagne démontrèrent de manière péremptoire la fausseté de ces actes !

– Mais alors d’où vient ce document et quel est son but ? Il est l’œuvre de l’un des responsables d’une des trois églises citées (le Latran dans nos souvenirs), car le prestige constantinien allait y faire affluer les pèlerins. Cela explique la juxtaposition entre des donations grandioses telles « la primauté sur les Églises d’Orient » ainsi que la possession de « Rome, l’Italie et de manière générale l’Occident », avec d’autres donations, dérisoires en comparaison, que sont « les églises du Latran, de Saint-Pierre et de Saint-Paul-hors-les-Murs », « des biens dans diverses provinces de l’Empire », « le palais du Latran », « les insignes impériaux, et les insignes sénatoriaux à l’entourage du pape » !

11 commentaires sur “La vérité sur les « Fausses Décrétales d’Isidore Mercator »

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  10. Pourriez-vous écrire quelque chose sur les faux documents de Pape Symmaque ?
    https://en.wikipedia.org/wiki/Symmachian_forgeries

    • Ressources Catholiques
      20 août 2021

      Bonjour. Merci de votre question. Je pense qu’il n’y a pas grand chose à écrire de plus que ce que dit Wikipédia : ce dont des faux documents produits par les partisans de saint Symmaque, et non par saint Symmaque lui-même. Soyez béni !

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