+†+Yesus Kristus azu+†+

« Il n’est pour l’âme aliment plus suave que la connaissance de la vérité » (Lactance)

Les invasions étrangères : punition des peuples hérétiques !

Il y a de bonnes raisons de penser que les invasions étrangères sont une punition permise par Dieu pour punir les peuples apostats. En de nombreux endroits de l’Ancien Testament, Dieu punit les peuples impies, ou le peuple d’Israël lorsque celui-ci était infidèle à l’Alliance par de telles invasions.

Il y a tout lieu de penser que cette punition est toujours risquée par les peuples apostats de la Nouvelle Alliance. Comme nous allons le voir, pratiquement tous les peuples ayant été catholiques puis cessé de l’être ont connus différentes invasions non-chrétiennes ou extra-européennes; ce qui fut rarement le cas des peuples fidèles à la foi catholique

Saint Salvien (390, mort vers 484), évoque cette hypothèse. Né sur les bords du Rhin, marié, puis prêtre, moine à Lérins et à Marseille ; apologiste et moraliste, il est fêté le 22 juillet. Il a laissé des Lettres et deux ouvrages : De gubernatione Dei (Du gouvernement de Dieu) et Adversus avaritiam (Contre l’avarice) où il fait un tableau satirique des mœurs de la société romaine au Ve siècle, auxquelles il oppose la pureté de mœurs chez les barbares. Et il voit dans les invasions barbares, conformes à un plan de la Providence, le salut du peuple romain. En lire plus ici.

Voici un historique des invasions subie par les peuples apostats:

 1° l’Empire romain : l’empire romain devenu largement arien et débauché fut envahi par les huns au Vème siècle. Ces derniers furent arrêtés par la piété de sainte Geneviève devant Paris et par celle du Pape saint Léon le Grand en Italie. Ce même empire romain, toujours en proie avec ses vieux démons fut complétement détruit par les peuples barbares peu après.

 2° les peuples ariens après la chute de l’Empire romain : les peuples d’Afrique du Nord, restés ariens après la chute de l’Empire romain furent submergés et conquis par les arabo-musulmans aux VIIème et VIIIème siècles.

 3° les diverses sectes orientales : tous les peuples orientaux adhérant aux anciennes hérésies tels le monophysisme, le nestorianisme (qui nie que Marie est Mère de Dieu) et autres professant diverses hérésies des premiers siècles (dont l’Arménie et l’Egypte) furent envahis par les arabo-musulmans ou les turcos-musulmans.

 4° les peuples orthodoxes : tous les peuples orthodoxes furent conquis par les arabo-musulmans, les turcos-musulmans ou les mongols. Il y a également fort à parier que la prise de Constantinople par les Turcs fut permise par Dieu pour les punir de leur schisme et de leurs hérésies. En effet, à la suite du schisme, les ‘orthodoxes‘ revinrent deux fois à la foi et à l’unité catholiques. Selon certains, ce fut par calcul politique. En 1274 les Grecs revinrent à la saine doctrine lors du IIème concile de Lyon mais retombèrent dans l’erreur peu après. Ils reconnurent à nouveau le Filioque lors du Concile de Florence après qu’un car­dinal latin leur eût cité une sentence de St. Épiphane, qui était l’un des Pères de l’Église grecs très vénéré par les Orientaux. Les schismatiques revinrent à la vérité aussi parce qu’il leur fut montré que les décrets du Vè Concile général furent falsifiés par des grecs : ce concile enseignait le Filioque ! Les véritables actes du IIIème Concile de Constantinople conservés par les Latins, por­tent la mention « Credimus et in Spiritum sanctum Dominum, et vivificatorem. ex Patre Filioque procedentem »; tandis que dans les exemplaires détenus par les Grecs, on lit seulement « ex Patre procedentem ». Lors du concile de Florence (où se réunissaient Grecs et Latins), le cardinal Julianus fit remarquer cette omission. Ju­lianus tenait ses informations d’Emmanuel Caleca, sorte de « transfuge » grec converti en 1396 à l’Église latine et romaine (information trouvée dans BaroniusAnnales Ecclesiaslici, anno 680). Les Grecs, afin de nier le Filioqueretranchèrent la préposition « ex » d’un écrit de St. Grégoire de Nysse (Mgr Paul Guérin, Les conciles généraux et particuliers, Bar-le-duc 1872, t. Il, p. 557).

Ils souscrivirent donc la formule suivante:

« Donc au nom de la sainte Trinité, du Père, du Fils et du Saint-Esprit, avec l’approbation de ce saint concile universel de Florence, NOUS DÉFINISSONS CETIE VÉRITÉ DE FOI afin qu’elle soit crue et reçue par tous les chrétiens, et qu’ainsi tous le professent : que le Saint-Esprit est éternellement du Père et du Fils (ex Patre et Filio), et qu’il tient son essence et son être subsistant du Père et du Fils à la fois et qu’il procède éternellement de l’un et de l’autre comme d’un seul prin­cipe et d’une spiration unique » (Concile de Florence, Bulle Laetentur caeli, 6 juillet 1439).

Mais après le concile, les Grecs retournèrent à leur hérésie. Et il n’est pas déraisonnable de penser que la chute de Constantinople qui intervint seulement 9 ans après cette ultime trahison fut permise par Dieu comme punition !

En effet, que les Grecs aient été châtiés par Dieu pour avoir nié le Filioque ressort aussi d’une révélation privée du bienheureux Constant de Fabriano (mort en 1481). Il faisait d’instantes prières pour que les musulmans n’envahissent point Constantinople. Mais Dieu lui révéla alors qu’il allait permettre l’invasion turque, en vue de châtier les schismatiques grecs, coupables d’avoir nié le Filioque. Constant avait la coutume de réciter tous les jours l’office des morts et d’y joindre très souvent le Psautier. Il assurait ne l’avoir jamais achevé sans obtenir la grâce qu’il demandait. Les Turcs, à cette époque, s’avançaient vers Constantinople. On le pria de dire le Psautier, pour détourner ce fléau qui alarmait la chrétienté; mais il affirma que l’ayant plusieurs fois commencé, il n’avait jamais pu l’achever; ce qui lui faisaient penser que Dieu permettait qu’il en soit ainsi, pour montrer qu’il voulut punir les Grecs de leurs multiples séparations de l’Église catholique. L’événement prouva bientôt que sa conjecture était vraie. Par ailleurs, ce saint religieux connut aussi d’avance les maux que devait éprouver sa patrie  et les annonça longtemps avant l’époque à laquelle ils se furent sentir.

De plus, la chute de Constantinople eut lieu en 1453 le 29 mai qui était cette année-là le jour de la Pentecôte, jour de la fête du Saint-Esprit, Saint Esprit qui faisait justement l’objet de l’hérésie de grecs !

Notons que trois ans après la chute de Constantinople, ayant soumis la Grèce, l’Albanie et une partie de la Serbie, les Ottomans furent stoppés devant Belgrade en 1456 par l’armée des va-nu-pieds commandée par Jean Hunyadi et animée par le franciscain Saint Jean de Capistran. Donc après s’être facilement enfoncés en territoires schismatiques, les Turcs furent arrêtés à Belgrade, en terre certes orthodoxe mais par une armée composée de volontaires du peuple (c’est-à-dire pas de militaires) qui étaient catholiques ! Cette armée fut de plus suscitée par un Pape (voici ici) !

 5° le cas de la Russie : certains objecteront que ce n’est pas le cas de la Russie; et bien en réalité, si: les mongols sont passés comme dans du beurre à travers le Russie qui fut dominée par le tatars musulmans durant les trois siècles qui suivirent.

Plus récemment, la Russie, fut libérée de la domination musulmane mais persécutait toujours l’Eglise catholique. Pour en savoir plus, je conseil de lire Persécution et souffrances de l’Église catholique en Russie: ouvrage appuyé sur des documents inédits, paru en 1844. Nous pouvons aussi lire l’encyclique Orientales Omnes Ecclesias du 23 décembre 1945 où le Pape Pie XII décrit les persécutions de la saint Église dans la empire schismatique. Le texte intégral n’est malheureusement disponible qu’en anglais (cliquer ici), mais en voici plusieurs extraits en français:

« Peu d’années après, l’œuvre de conciliation à peine entreprise fut consacrée par le sang d’un martyr : le 12 novembre 1623, Josaphat Kuncevicz, archevêque de Polotsk et de Vitebsk, renommé pour la sainteté de sa vie et son ardeur apostolique et champion invincible de l’unité catholique, menacé de mort par des schismatiques qui avaient déchaîné contre lui une très violente campagne, fut atteint d’une balle et achevé d’un coup de hache. Mais le sang sacré de ce martyr devint aussi en un certain sens une semence de chrétiens, car tous les assassins eux-mêmes, à l’exception d’un seul, regrettèrent le crime commis, et abjurant le schisme, firent amende honorable avant de subir la peine capitale. De la même manière, Mélèce Smotrytskyj, compétiteur acharné de Josaphat pour le siège de Polotsk, revint en 1627 à la foi catholique et, bien qu’il eût hésité quelque temps entre les deux partis, il ne tarda pas à défendre jusqu’à sa mort, avec un très grand courage, le pacte concernant le retour des Ruthènes dans le giron de l’Eglise catholique ; conversion qui, semble-t-il, doit être attribuée elle aussi au patronage de ce saint martyr.

Cependant les difficultés de toute nature augmentaient avec les années et faisaient obstacle à la réconciliation heureusement commencée. Parmi les plus graves, il y avait le fait que les rois de Pologne qui, au début, paraissaient favoriser le rapprochement, contraints ensuite, soit sous la pression de leurs ennemis extérieurs, soit par suite des dissensions des factions internes, firent des concessions toujours plus grandes aux adversaires de l’unité catholique qui, certes, ne manquaient pas. C’est pourquoi en peu de temps, cette sainte cause en vint, ainsi que le confessèrent les évêques ruthènes eux-mêmes, à n’avoir d’autre soutien que l’aide des Pontifes romains qui, par des lettres pleines d’affection et les secours qu’il leur était possible d’envoyer, spécialement par l’intermédiaire du nonce apostolique en Pologne, défendirent l’Eglise ruthène avec autant d’énergie que de bonté paternelle.

Plus les temps étaient tristes, plus éclatant se montra le zèle des évêques ruthènes qui, non seulement s’efforcèrent d’instruire le peuple peu au courant de la doctrine chrétienne, mais encore d’élever les prêtres insuffisamment cultivés à un degré plus haut de science sacrée, et enfin de remplir les moines dont la conduite s’était relâchée d’une ardeur renouvelée pour la discipline et du désir de sanctification. Ils ne perdirent pas non plus courage, lorsqu’en 1632, les biens ecclésiastiques furent en grande partie attribués à la hiérarchie des frères dissidents, constituée peu de temps auparavant, et que, dans les accords signés entre les Cosaques et le roi de Pologne, fut insérée la dissolution de l’union rétablie entre les Ruthènes et le Siège apostolique ; les prélats ruthènes n’en continuèrent que mieux à défendre avec constance et ténacité les troupeaux confiés à leur garde.

Dieu, cependant, qui ne permet pas que son peuple soit victime de trop lourdes épreuves, lorsque fut enfin conclue la paix d’Androussov en 1667, fit luire à nouveau, après tant d’amertumes et de malheurs, des temps plus calmes pour l’Eglise ruthène, dont la tranquillité retrouvée fut, pour la religion, une source de jour en jour plus abondante de prospérité. En effet, les mœurs et la foi chrétiennes fleurirent à tel point que, même dans les deux éparchies qui, en 1596, étaient restées, hélas ! détachées de l’unité, on enregistra chaque jour des adhésions de plus en plus nombreuses pour le retour au bercail catholique. C’est ainsi qu’il advint heureusement qu’en 1691, l’éparchie de Przemysl, et en 1700, celle de Lwów, furent réunies au Siège apostolique, et cela de telle manière que presque tous les Ruthènes qui habitaient à cette époque en Pologne bénéficièrent enfin de l’unité catholique.

Voyant donc la religion prospérer chaque jour davantage, au grand profit de la chrétienté, en 1720, le métropolite et les autres évêques de l’Eglise ruthène se rassemblèrent en concile à Zamoscj, afin de pourvoir, d’un commun accord, suivant leurs possibilités, aux besoins croissants des fidèles du Christ. Les décrets de ce concile, confirmés par Notre prédécesseur de vénérée mémoire, Benoît XIII, par la constitution apostolique Apostolatus officium, du 19 juillet 1724, furent d’une grande utilité pour la communauté des Ruthènes.

La persécution des Ruthènes de Russie.

Cependant, par un impénétrable dessein de Dieu, il arriva que, vers la fin du XVIIIe siècle, cette même communauté fut victime de nombreuses persécutions et mesures vexatoires qui furent parfois plus vives et plus aiguës dans les régions réunies à l’Empire russe après le démembrement de la Pologne. Et à la mort de l’empereur Alexandre Ier, on osa, de propos délibéré et avec une audace téméraire, briser complètement l’union des Ruthènes avec l’Eglise romaine. Déjà, auparavant, les éparchies de cette nation avaient été presque mises hors d’état de communiquer avec le Siège apostolique. Mais bientôt on élit des évêques qui, gagnés à la cause du schisme, se mirent servilement à la disposition de l’autorité civile ; au séminaire de Vilna, érigé par l’empereur Alexandre Ier, on enseignait aux clercs des deux rites des doctrines hostiles aux Pontifes romains ; l’Ordre basilien, dont les membres avaient toujours été d’une très grande aide à l’Eglise catholique de rite oriental, fut privé de son propre gouvernement et de sa propre administration, et ses moines furent complètement soumis aux consistoires éparchiaux ; enfin, les prêtres de rite latin se virent interdire, sous des peines très graves, d’administrer les sacrements et les autres secours religieux aux Ruthènes. Et, pour finir, malheureusement, en 1839, fut solennellement déclarée l’union de l’Eglise ruthène avec l’Eglise russe dissidente.

Qui pourrait raconter, Vénérables Frères, les douleurs, les dommages, les privations qu’endura alors le très noble peuple ruthène, uniquement parce qu’il était accusé du crime d’avoir protesté contre le tort qui lui avait été fait de l’entraîner de force et par ruse au schisme, et d’avoir cherché par les moyens en son pouvoir de garder sa foi ?

C’est donc à bon droit que Notre prédécesseur de pieuse mémoire, Grégoire XVI, dénonça au monde entier, dans son allocution du 22 novembre 1839, en exprimant ses plaintes et sa douleur, l’indignité de cette façon de procéder ; mais ses solennelles réclamations et protestations ne furent même pas écoutées, et ainsi l’Eglise catholique dut pleurer ses enfants arrachés par une inique violence de son giron maternel.

Bien plus, peu d’années après, l’éparchie de Chelmno, soumise au royaume de Pologne uni à l’Empire russe, endura, elle aussi, le même malheureux sort, et les fidèles qui, par devoir de conscience, ne voulurent pas se détacher de la vraie foi et résistèrent avec un courage invincible à l’union avec l’Eglise dissidente qui leur fut imposée en 1875, furent indignement condamnés à des amendes, à des peines corporelles, à l’exil. »

Ce pays connu 72 ans de tyrannie communiste

6° La France et la Guerre de Cent Ans : le roi de France Philippe le Bel se dressa contre le Pape. La conséquence fut la Guerre de Cent ans pour la France et la ruine des villes italiennes ayant collaboré avec le roi. En savoir plus, ici.

En revanche, la vague s’est toujours heurtée aux peuples et Rois catholiques ! Voici une autre chronologie (certains faits sont déjà rapportés plus haut) :

– les Huns furent arrêtés devant Paris par saint Geneviève et en Italie par le Pape saint Léon le Grand.

– après la soumission des peuples ariens, les musulmans furent arrêtés par le peuple et le roi Francs catholiques à Poitiers en 732.

– le rouleau compresseur mongol, après avoir dévasté la Russie, fut arrêtée en Pologne catholique.

– après la soumission des peuples ‘orthodoxes’ de l’ancien empire byzantin, les Turcs furent arrêtés en 1456 à Belgrade par une armée catholique (comme rapporté plus haut).

– en se lançant plus tard à l’assaut l’empire catholique d’Autriche, les Turcs furent arrêtes à Vienne en 1529 et 1683. En 1683, la bataille perdue d’avance d’un pont de vu humain fut d’ailleurs gagné par un miracle êcident de la Saint Vierge, voir ici.

– en 1571, la flotte turc que se lance à l’assaut des mers européenne et est détruite à la bataille de Lépante. Là encore, la bataille était perdu d’avance et fut gagné par un miracle de Notre-Dame, voir ici.

– la Pologne catholique fut même protégée par la Sainte Vierge contre les assauts des hérétiques luthériens aux XVIIème siècle et des communistes en 1920, lire l’histoire détaillée en cliquant ici.

– plus récemment, la même Vierge Marie sauva la France à deux reprises, certainement en raison de son vieux fond catholique, malgré l’apostasie de beaucoup; elle le fit en septembre 1914 pour éviter une victoire allemande imminente (voir ici) et en 1947 pour empêcher une prise de pouvoir insurrectionnelle communiste (voir ici)

Il y aurait encore beaucoup d’autres exemple à citer comme la victoire au XIIIème siècle d’une armée de 1600 catholiques contre plus de 25000 hérétiques cathares, là encore grâce au Rosaire ou encore la « Croisade du Rosaire » entre 1945 et 1955 à l’issue de laquelle les communistes se retirèrent d’Autruche sans aucune explication politique ou militaire…

Voici trois textes dans leurs ordres chronologiques. Le premier et le troisième furent écrits par Dom Prosper Guéranger (1805-1875), Abbé de l’Abbaye Saint-Pierre de Solesmes, autorité reconnue en matière de liturgie, inspirateur du Mouvement liturgique, restaurateur de la messe tridentine en France au XIXème siècle et fameux ultramontain. Le deuxième le fut par le Cardinal Pie (1815-1880), grand évêque de Poitiers, monument de la littérature contre-révolutionnaire, défenseur du Règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ et lui aussi, immense ultramontain.

Ces trois textes mettent en relief l’apostasie de peuples autrefois catholiques et les invasions qu’ils connurent. Ils font cette remarque pour avertir leur peuple – le peuple français – que s’il ne revient pas à son Dieu, il connaîtra le même sort. En effet, beaucoup de français étaient déjà hérétiques, voire apostats déjà à l’époque, et beaucoup de croyants étaient déjà ramollis dans leurs efforts…

Ces avertissements ne furent pas entendus et l’apostasie de la Foi continua en France. Cette même France connu vite trois invasions : en 1870, 1914 et 1940 par les allemands. Elle est aujourd’hui envahie d’une autre manière par les musulmans.

Cet article a deux objectifs : 1° fournir un argument apologétique en faveur de la Sainte Eglise Catholique : ceux qui la rejettent sont envahis, ceux qui y restent fidèles sont préservés et 2° tirer la sonnette d’alarme, tant pour les catholiques français que pour catholiques de tous les peuples de la terre : priez, faites des sacrifices dans votre vie, évangélisez, c’est le seule moyen d’éviter l’invasion de vos pays par l’islam ou les guerres civiles !

Voici les textes : 

Dom Prosper Guéranger, 4 juin 1858

Instruit à l’école des saintes Écritures, l’historien chrétien sait que l’asservissement des peuples sous le joug de fer de la conquête est à la fois un châtiment du Ciel pour les prévarications d’un peuple, et un exemple terrible donné aux autres nations. C’est bien le moins, en effet, qu’un chrétien comprenne ce que comprenait un barbare, une espèce de sauvage, Attila, en un mot, qui se définissait lui-même le Fléau d’un Dieu qu’il ne connaissait même pas.

N’en doutons pas, l’islamisme n’est point simplement une révolution d’Arabes qui s’ennuient sous la tente, et auxquels un chef habile a imprimé une surexcitation qui les pousse tout à coup à la conquête des villes les plus luxueuses de l’Orient. Non ; mais Dieu a laissé prévaloir pour un temps l’antique ennemi de l’homme, et lui a permis de choisir un organe à l’aide duquel il séduira les peuples, en même temps qu’il les asservira par le glaive. De là, Mahomet, l’homme de Satan, et le Coran, son évangile. Or, quel est le crime qui a poussé ainsi à bout la justice de Dieu, et l’a portée à abandonner ces peuples à un esclavage dont nous ne prévoyons pas encore la fin ? L’hérésie est ce crime odieux, qui rend inutile la venue du Fils de Dieu en ce monde, qui proteste contre le Verbe de Dieu, qui foule aux pieds l’enseignement infaillible de l’Église. Il faut qu’il soit puni et que les nations chrétiennes apprennent qu’un peuple ne s’élève pas contre la parole révélée sans s’exposer à voir châtier, même dès ce monde, son audace et son ingratitude. Alors succombent et Alexandrie, second siège de Pierre et Antioche, où il siégea d’abord, et Jérusalem, qui garde le tombeau glorieux. Dans ces villes fameuses, il y a bien encore un peuple que l’on a vu tantôt orthodoxe, tantôt hérétique, au gré de ses patriarches ; la servitude qu’ont déchaînée les blasphèmes de cette autre population plus nombreuse qui suit les dogmes impies de Nestorius et d’Eutychès, vient envelopper ces restes catholiques d’une église autrefois si florissante, comme les eaux du déluge engloutirent les pécheurs repentants avec la foule des méchants que Dieu avait résolu de perdre, comme la peste, quand Dieu la lance sur un pays, moissonne à la fois les amis de Dieu et ses ennemis.

Le flot s’arrête devant Constantinople et n’inonde pas encore les régions qui l’avoisinent. L’empire d’Orient, devenu bientôt, l’empire grec, est mis à même de profiter de la leçon. Si Byzance eût veillé à la foi, Omar n’eût visité ni Alexandrie, ni Antioche, ni Jérusalem. Un délai est accordé ; il sera de huit siècles ; mais lorsque Byzance aura comblé la mesure, le croissant vengeur reparaîtra. Ce ne sera plus le Sarrasin, il est usé ; mais le Turc, et Sainte-Sophie verra badigeonner ses images chrétiennes et peindre par-dessus les sentences du Coran, parce qu’elle est devenu le sanctuaire du schisme et de l’hérésie. Mais nous reviendrons sur Byzance. À l’époque que nous repassons, le Sarrasin, après avoir asservi les trois villes saintes, plonge jusqu’à l’Arménie, dont le peuple a embrassé l’erreur monophysite ; il se jette sur le littoral de l’Afrique, souillé par l’arianisme, et d’un bond il arrive en Espagne. Il en sortira de force, car l’hérésie n’est plus là : il faudra seulement du temps. Quant à son audace de pénétrer jusque sur le sol français, il l’expiera durement dans les champs du Poitou. L’Islam s’était trompé ; là où l’hérésie ne règne pas, il n’y a pas place pour lui. En retour de cette prouesse, il recevra dans la Péninsule plus d’une visite de ce Charles-le-Grand, toujours orthodoxe et toujours vainqueur, qui, en chevalier du Christ, vient en aide à ses frères d’Espagne. Arrêtons-nous ici, après avoir salué la justice de Dieu sur l’hérésie et reconnu la vraie cause des triomphes de l’islamisme, et l’unique raison de la permission divine à laquelle il doit d’avoir existé, de n’avoir pas été une secte obscure et éphémère au fond de l’Arabie.

Homélie du Cardinal Louis-Édouard Pie, le 8 novembre 1859, dans la cathédrale de Nantes

À l’époque qui nous occupe (à la fin du VIIe siècle), il avait paru sur la terre, depuis bientôt deux siècles, un fils de Bélial, à qui il était réservé de tenir en haleine la chrétienté tout entière durant une période de plus de mille ans.

L’islamisme, « religion monstrueuse » dit Bossuet dans son beau panégyrique de saint Pierre Nolasque, «religion qui se dément elle-même, qui a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes», et j’ajouterai, pour tout attrait ses excitations voluptueuses et ses promesses immorales, l’islamisme avait déjà envahi d’immenses contrées.

Que le schisme, que l’hérésie tombassent sous ses coups, c’était un grand malheur sans doute : toutefois c’est la loi de l’histoire et c’est un ordre accoutumé de la Providence que, pour punir les peuples pervers, Dieu se sert d’autres peuples plus pervers encore ; et cette mission, l’islamisme en était investi pour longtemps.

Mais voici que la chrétienté n’est plus seulement atteinte dans ces races dégénérées qui ont décomposé en elles le principe de la vie par l’altération du principe de l’unité et de la vérité : c’est l’Europe dans ses parties les plus vitales, c’est le cœur même des races catholiques qui est menacé ; c’est le boulevard de l’orthodoxie, c’est le royaume très chrétien, c’est la France, et, derrière le rempart de la France, c’est la métropole du christianisme, c’est le monde entier qui aura tout à redouter de ces nouveaux et implacables barbares.

Ils ont franchi les Pyrénées, ils se sont rués sur nos belles provinces du midi, ils ont étanché la soif de leur glaive dans le sang de nos frères orthodoxes, ils s’avancent jusque dans la Bourgogne; leurs traces sont marquées par le feu et par le sang, mais surtout par la profanation et l’impiété. Nul bras n’ose entreprendre de les arrêter…

Dom Prosper Guéranger : L’année liturgique ; Jeudi de la Sexagésime (1880)

Dieu promit solennellement à Noé de ne plus envoyer contre la terre coupable le terrible châtiment du déluge ; mais sa justice l’a contraint plusieurs fois, pour punir les nations révoltées, de recourir à un moyen sévère, et qui présente plus d’une analogie avec le déluge ; il a déchaîné contre les peuples le fléau des invasions ennemies.

L’histoire en présente, dans tout son cours, la suite effrayante ; et toujours la divine Providence s’est justifiée dans ses oeuvres. Les invasions étrangères ont été toujours amenées par les crimes des hommes, et il n’en est pas une seule qui n’atteste la suprême équité par laquelle Dieu gouverne le monde.

Nous ne rappellerons point ici la succession de ces grandes catastrophes dont le récit forme, pour ainsi dire, les annales de l’humanité, ces conquêtes, ces extinctions de races, ces pertes de nationalités, ces fusions violentes de peuples, dans lesquelles tout un passé est submergé. Qu’on se rappelle seulement les deux grands faits de ce genre qui ont désolé le monde depuis l’ère chrétienne, et qu’on adore la justice de Dieu.

L’empire romain avait accumulé les crimes jusqu’au ciel ; l’adoration de l’homme et la licence effrénée des moeurs avaient été portées par son influence au dernier degré dans les nations qu’il avait perverties. Le Christianisme pouvait sauver les hommes dans l’Empire, mais l’Empire lui-même ne pouvait devenir chrétien.

Dieu le voua au déluge des barbares, et il disparut sous les flots de l’invasion qui montaient toujours, jusqu’à ce qu’ils eussent couvert les sommets dorés du Capitole. Les farouches exécuteurs de la vengeance céleste avaient eux-mêmes l’instinct de leur mission, et ils prenaient le nom de Fléaux de Dieu.

Plus tard, lorsque les nations chrétiennes de l’Orient, celles qui avaient transmis aux Occidentaux le flambeau de la foi qu’elles ont laissé s’éteindre chez elles, eurent assez fatigué la justice divine par les sacrilèges hérésies dont elles défiguraient l’auguste symbole de la foi, Dieu déchaîna sur elles, du fond de l’Arabie, le déluge de l’Islamisme qui engloutit les chrétientés premières, sans épargner même Jérusalem, teinte du sang et témoin de la résurrection de l’Homme-Dieu. Antioche et Alexandrie avec leurs Patriarcats s’abîmèrent dans l’ignominie de l’esclavage, en attendant que Constantinople à son tour, ayant lassé la patience divine, devînt elle-même le siège du Croissant.

C’est notre tour maintenant, nations occidentales, si nous ne revenons pas au Seigneur notre Dieu. Déjà les cataractes du Ciel sont entr’ouvertes, et le flot vengeur de la barbarie menace de se précipiter sur nous. Mais aussi, dans notre Europe, toute chair n’a-t-elle pas corrompu sa voie, comme aux jours de Noé ? N’avons-nous pas conspiré de toutes parts contre le Seigneur et contre son Christ ? N’avons-nous pas crié comme les nations impies dont parle le Psalmiste : « Brisons leurs liens, et rejetons leur joug loin de nous (1) » ?

Tremblons que le moment ne soit venu, où, en dépit de notre orgueil et de nos fragiles moyens de défense, le Christ irrité, à qui seul les peuples appartiennent, « nous régira avec la verge de fer, et nous brisera comme un vase d’argile (2)» Le temps presse, profitons du conseil que nous donne le Roi-Prophète : «Servez le Seigneur dans la crainte, embrassez sa loi, de peur que le Seigneur ne s’irrite, et que vous ne périssiez quand sa colère s’allumera soudain (3) ».

(1) (2) (3) Psaume II

10 commentaires sur “Les invasions étrangères : punition des peuples hérétiques !

  1. Miss Tanessa
    27 août 2015

    A reblogué ceci sur ๓เรร tคภєรรคet a ajouté:
    La foi catholique n’est plus beaucoup pratiquée en France, mais c’est en grande partie depuis la Révolution qui lui a été imposée, parce que le catholicisme était partout florissant en France à l’époque… catholicisme que la Révolution avait résolu de rayer de la carte par tous les moyens. Beaucoup ont alors dû se réfugier ailleurs pour fuir la persécution, dont certains sont venus au Québec pour fonder des communautés religieuses à qui les Québécois doivent beaucoup aujourd’hui. Et pourtant, le Québec a connu une Révolution tranquille qui a été déterminante dans la société québécoise. On peut dire que beaucoup ont apostasié tranquillement et ceux qui sont restés croyants sont les vrais croyants. La Révolution tranquille a révélé un peu qui étaient ceux qui croyaient et ceux qui ne croyaient pas.

    • Dan
      14 septembre 2015

      Miss Tanessa vous dite
      La Révolution tranquille a révélé un peu qui étaient ceux qui croyaient et ceux qui ne croyaient pas.

      Qui croyait quoi??
      Au dogme catholique ou à la parole de Dieu seul ??

      • Miss Tanessa
        14 septembre 2015

        Je parlerais plutôt de «foi» catholique qui contient évidemment le dogme parce que dans l’Église catholique, il n’y a pas que le dogme, mais on ne peut séparer le dogme de l’Église catholique. On ne peut pas se dire catholique si on rejette les dogmes. Catholique veut dire «universel». Pour moi la foi est obligatoirement catholique car il n’y a qu’une seule Vérité qui est la Révélation que professe l’Église catholique. Cependant, il y a trois vertus théologales et qui sont étroitement liées: foi, espérance, charité, mais la plus grande des trois est la charité (l’amour) parce qu’au final, nous serons jugés sur l’amour.

        La parole de Dieu est un outil essentiel pour enseigner et instruire, bien sûr, mais nous savons que tout n’a pas été écrit dans la bible. Il y a aussi la Tradition. Le Christ Jésus nous a envoyé le Saint-Esprit pour assister son Église, d’où la certitude que l’Église est constamment guidée par l’Esprit Saint.

        L’Église (et les croyants) est en marche et chaque jour, elle rassemble son troupeau et les fidèles croyants se joignent à Elle au fur et à mesure. Chaque minute ou jour qui passe est un temps de grâce qui est donné au croyant, par son témoignage de foi, d’adhérer à la foi pleine et entière qui est de fait « catholique».

        Toutefois, je trouve important de joindre ce texte extrait du site Internet du Vatican. (Mais attention, ce texte n’excuse pas tout, en ce sens, qu’il ne faudrait pas se servir de ce texte pour excuser son hostilité face à l’Église catholique, si je peux m’exprimer ainsi) :

         » Hors de l’Église point de salut  »

        .« Ceux qui refuseraient soit d’entrer dans l’Église catholique, soit d’y persévérer, alors qu’ils la sauraient fondée de Dieu par Jésus-Christ comme nécessaire, ceux-là ne pourraient être sauvés. Cette affirmation ne vise pas ceux qui, sans leur faute, ignorent le Christ et son Église : En effet, ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Évangile du Christ et son Église, mais cherchent pourtant Dieu d’un cœur sincère et s’efforcent, sous l’influence de sa grâce, d’agir de façon à accomplir sa volonté telle que leur conscience la leur révèle et la leur dicte, ceux-là peuvent arriver au salut éternel. »

        http://www.vatican.va/archive/FRA0013/_P23.HTM

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  3. Dan
    16 septembre 2015

    Miss Tanessa

    Merci pour votre réponse

    Je suis croyant et ce qui me pose le plus de problème dans votre réponse c’est que le vatican et votre référence.

    A part çe discours biblique de 1 cor 13 sur l’amour
    Cependant, il y a trois vertus théologales et qui sont étroitement liées: foi, espérance, charité, mais la plus grande des trois est la charité (l’amour) parce qu’au final, nous serons jugés sur l’amour

    est sur
    La parole de Dieu est un outil essentiel pour enseigner et instruire,
    qui est aussi tiré de la bible

    Il n’y a qu’un seul livre qui s’appel la parole de Dieu c’est la bible non?

    Vous dite que dans l’église catholique il n’y pas que le dogme, c’est vrai, que car tradition religieuse est trés présente.
    Mais ce qui manque le plus c’est la parole de Dieu.

    J’aimerai savoir pour vous qui passe avant l’autorité de la bible ou du vatican.
    Si le vatican se trompe (se que je pense vous contester) et vas a l’encontre de la bible qui tranche pour vous?

    Si pour vous c’est la bible qui tranche alors prenez comme référence la bible quand vous argumenter.

    Si pour vous c’est le vatican qui ne pourrai se tromper sur la bible pourquoi toutes vos dogmes sont si bancale en rapport avec la bible (dans le sens que s’attribuer une parole sans fondement réel)..

    Jusqu’a présent sur çe site il m’est impossible d’avoir des personne qui me sorte un dogme valable en rapport CLAIRE avec la bible. Mais vous basé votre foi dessus..
    Pourquoi?

    Je ne veux pas développer sur les 2 derniers paragraphe parlent du salut même si il y a beaucoup à dire. Et beaucoup de passage de la bible montre que le Salut n’à deja rien à voir avec l’appartenance à un église.
    Sinon pourquoi Jesus serai mort?

    Je finirai par bien séparer deux choses

    Le mot « catholique » dans sa définition veut dire universel.

    Mais vous (catholiques) jouer avec sa définition pour citer votre église qui est
    L’Eglise catholique de nom pas de substance.

    C’est comme les témoins de Jehova.
    Les ass de dieu
    L’église de Dieu

    etc…

    La substance….

    Jesus dis dans sa parole on reconnais un arbre a ses fruits,

    Donc si vous appelez au arbre qui fait de pommes. olivier !
    Avez vous raison Non

    A par si vous pouvez démontrez que ses fruit sont bien les Olives dans tout leurs définitions.

    • +++Yesus Kristus azu+++
      16 septembre 2015

      Ridicule. L’Eglise Catholique pourrait-elle se tromper sur la Bible ?
      Misère, c’est grâce à elle que vous possédez la Bible, puisque c’est Elle qui a fixé le Canon… Il faudrait donc, techniquement admettre qu’elle s’est également trompé sur ce Canon et que les livres de la Bible que vous possédez à présent, ont été définis de manière arbitraire.
      Nous sommes là devant un fait ! La balle est dans votre camp. Mais votre combat contre la Foi catholique vous aveugle désespérément. Même les protestants, du moins de bonne foi, reconnaissent que l’Autorité des Écritures nous vient de l’Eglise catholique qui a fixé ce Canon, lors d’un Concile, de surcroît. Mais vous, je présume, vous n’aimez pas beaucoup les Conciles ; sauf si je me trompe…

  4. Daniel PIGNARD
    21 septembre 2015

    Où il est question de ces ennemis (les migrants) qui viendront comme un fleuve :

    « Et, de sa bouche, le serpent lança de l’eau comme un fleuve derrière la femme, afin de l’entraîner par le fleuve. Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche. » (Apo 12 :13-18)

    « Quand l’ennemi viendra comme un fleuve, L’esprit de l’Éternel le mettra en fuite.
    Un rédempteur viendra pour Sion, Pour ceux de Jacob qui se convertiront de leurs péchés, Dit l’Éternel. » (Esaïe 59 :19-20)

    On y est !

    Les 4 média mensonges :
    Les migrants fuiraient la guerre comme l’exode des Français en 1940.
    Les Français doivent faire acte de charité pour ces migrants.
    Les migrants sont tous des immigrés syriens. http://www.nouvelordremondial.cc/2015/09/19/quatre-migrants-sur-cinq-ne-viennent-pas-de-syrie/
    Les migrants amélioreront la richesse de l’Europe.
    http://www.medias-presse.info/immigration-les-mediamensonges-alain-escada/39072

  5. Daniel PIGNARD
    23 septembre 2015

    Tenez, en Esaïe 17, c’est une prophétie sur Damas (Syrie) qui est donc d’actualité. Je vous en donne la fin qui nous concerne :
    « Oh! quelle rumeur de peuples nombreux! Ils mugissent comme mugit la mer. Quel tumulte de nations! Elles grondent comme grondent les eaux puissantes.
    Les nations grondent comme grondent les grandes eaux… Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon.
    Quand vient le soir, voici, c’est une ruine soudaine; Avant le matin, ils ne sont plus! Voilà le partage de ceux qui nous dépouillent, Le sort de ceux qui nous pillent. »

    Non mais !

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